La nuit s’abattit sur l’île, enveloppant le panorama d’une obscurité dense, rien que brisée par les éclairs qui zébraient le ciel. Frédéric s’était posté physionomie à la lanterne, scrutant le moindre frémissement de lumière. Le vent soufflait violemment, arrachant des volutes de humour et de brume qui se mêlaient à https://kylernnakr.izrablog.com/34260224/la-date-au-majeur-de-la-tempĂȘte