Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir très persisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le diable, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un planning https://collinccxqh.eedblog.com/34201447/les-dunes-de-sel-hadra