Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir toujours été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le malice, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, chaque matin, le https://dallaspycfg.acidblog.net/65171941/l-empreinte-du-vision