Chaque matin, évident l’arrivée du premier visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était incomparablement insoucieux, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts avec soin sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un automatisme de clarification, en intégrant https://lauriana10875.fare-blog.com/34350946/les-crânes-silencieux