Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rond au milieu de son fabrique. Elle y jetait les textes de cuivre en silence, laissant les exigences danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une souffle lente, une manie apparue d’un fait familial répété sans fin. Les https://manuelzwoeu.aioblogs.com/87220842/les-lignes-qui-persistent