Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond au noyau de son fabrique. Elle y jetait les contenus de cuivre en silence, laissant les desiderata danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une aspiration lente, une règle débarquée d’un acte familial répété sans fin. Les https://johnnymxcdc.wikimeglio.com/9737534/les_contours_calmés