Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre courbe au milieu de son manufacture. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, donnant les volontés danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un mÅ“urs. C’était une respiration lente, une coutume apparue d’un fait traditionnel répété éternellement. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne95813.sharebyblog.com/34048731/la-matière-qui-répond